Svali, qui est une survivante de violences rituelles et de contrôle mental aux Etats-Unis et en Europe, a partagé sur son blog une série d'articles sur son parcours dans le réseau pédocriminel, sataniste et de contrôle mental. Elle évoque longuement le Vatican et son bras armé la compagnie de Jésus (les jésuites), qui selon elle tiennent le trafic sexuel d'enfants dans le monde.
Elle parle aussi d'Amsterdam, épicentre de ce trafic, dont elle décrit le fonctionnement.
Svali a été l’une des premières à dénoncer le contrôle mental et les réseaux satanistes liés au gouvernement US, dans les années 2000. Elle a longtemps gardé le silence, jusqu’en 2021 quand elle a écrit son livre. Elle a occupé une position importante dans le réseau, et était à un moment parmi les principaux programmeurs, chargés d'organiser le contrôle mental des membres du réseau et de leurs victimes.
C'est quand ses enfants ont dénoncé les violences sexuelles qu'ils subissaient de leur père qu'elle a commencé à réunir les morceaux de son passé et a entrepris une thérapie.
Au Moyen-Âge, écrit-elle, de puissantes familles italiennes comme les Médicis et les Borgia ont commencé à utiliser des méthodes telles que l'empoisonnement et l'assassinat, ainsi que l'espionnage de leurs ennemis, pour consolider leur pouvoir et se faire élire à la papauté. Le terme d’ "espions du Vatican" serait né à cette époque.
Puis les jésuites ont envoyé des instructeurs dans toutes les cours d’Europe, ce qui leur a donné un accès direct au pouvoir et lors de la Renaissance, ils avaient placé sous leur influence la plupart des jeunes monarques auxquels ils auraient aussi donné une formation occulte. Selon Svali "C'est l'une des raisons pour lesquelles toutes les familles royales d'Europe se sont fortement impliquées dans l'occultisme et ont servi le Vatican en adhérant à au moins l'une des douze sociétés secrètes, telles que les Illuminati et les Templiers".
Les jésuites sont dirigés par un individu appelé officieusement "le pape noir", qui a sous ses ordres trois "généraux". Ils seraient très fiers d’être les véritables généraux physiques de l'armée de satan sur terre, et chacun commande des milliers de troupes à travers le monde, prêtes à se battre pour celui qu'ils honorent : satan lui-même, et sa semence. Ces généraux croient qu'ils ont été directement commandés par satan lui-même.
Selon Svali les jésuites sont entraînés à l’occultisme dès la naissance. Ils pensent que l’homme peut s’élever au statut de dieu. Une de leurs pratiques, en cours aussi chez les moines tibétains, serait de mourir pour être ensuite réanimés. Comme beaucoup d’occultistes, ils pensent qu’il existe 13 dimensions.
Elle explique que le Vatican a été construit "sur le centre spirituel originel de la Rome primitive, une grotte habitée par les êtres "Roma" et "Vatus" qui lui ont donné son nom (qui a été changé plus tard en Romulus et Remus)". Le Vatican comporte plusieurs niveaux publics, et il y aurait aussi des niveaux souterrains inconnus du public, où se déroulent des cérémonies spirituelles. Ces cérémonies tournent autour de l'adoration des quatre entités que les Pères vénèrent :
Althéa (l'"arbre de vie" qui a également donné le nom d'"Aborae de Vitae" au principal monastère de formation des Jésuites au nord de Rome), qui représente également "l'Esprit" ;
La Bête, dont la salle et l'autel sont situés à cinq niveaux sous terre, taillés dans la pierre, et où les sacrifices ont lieu à la fois sur l'autel et dans la salle en forme de grotte située sous l'autel ;
Satan : Le trône de Satan est une pièce magnifique qui se trouve au niveau le plus bas, avec un énorme trône sur une estrade. Il aurait fallu 40 ans pour la tailler dans la roche. Selon Svali, « Après sa construction, les équipes de travail ont toutes été tuées pour éviter qu'elles ne divulguent le secret de ce qui se trouve sous les niveaux supérieurs du Vatican ». Ce serait le cœur spirituel du Vatican.
"Celui qui est venu" (le fils physique de Satan) : Pendant des années, les Jésuites ont appelé le leader attendu "celui qui doit venir", "l'oint", et l'ont considéré comme le porteur du Nouvel Ordre auquel ils ont aspiré pendant des siècles. Les Jésuites avaient en particulier un programme d'élevage d'antéchrists, dans lequel ils prenaient des jeunes femmes qui étaient accouplées à Satan lui-même afin de porter son enfant. Les fœtus étaient avortés spontanément dans la plupart des cas, ou bien la mère était tuée avant la naissance. Svali explique que "En 2000, un enfant est né et la nouvelle a été diffusée : "Celui qui doit venir" est arrivé, et il est soigneusement élevé et encadré par les pères jésuites au Vatican".
Les agents des jésuites recevraient un entraînement du MI6, qui serait le meilleur au monde, pour les assassinats, et seraient capables de tuer à distance.
Selon Svali, une douzaine de structures servent le Vatican, parmi lesquelles il y aurait les illuminatis, les Templiers, l’Ordre de Malte, l’Opus Dei, le Magnificat, la Trinité, la Golden Dawn, les Rose-Croix.
Ressources financières et trafic d’enfants
Svali raconte dans plusieurs posts de blog comment fonctionne le système qu’elle a connu, tenu par les Jésuites. Selon elle, ce sont les jésuites qui tiennent, pour le compte du Vatican, le trafic sexuel d’enfants qui serait basé à Amsterdam, où vivent des courtiers de l’industrie du sexe : des individus qui achètent et vendent la "matière première" de l’industrie du sexe, c’est-à-dire des humains. Ces courtiers se fourniraient dans le monde entier, envoyant leurs agents se fournir en enfants, garçons et filles, en Asie, en Ukraine et ailleurs.
"Les agents amènent des camions entiers d'enfants qu'ils ont recueillis en se rendant dans des familles pauvres ou des orphelinats. Ces Occidentaux bien habillés, riches et sympathiques promettent de placer les enfants dans de bons foyers et de leur offrir une vie meilleure par le biais de l'adoption, et font souvent des dons importants aux orphelinats qui fournissent régulièrement de "jolis enfants" et des nourrissons", écrit Svali.
"Les camions de nourrissons et de jeunes enfants traversent les frontières nationales en empruntant des itinéraires achetés, avec des gardes sympathiques (et bien payés). Les nourrissons sont pris en charge par des femmes qui leur donnent des biberons drogués pour qu'ils restent tranquilles pendant le voyage. Ces femmes sont sommées de ne jamais révéler ce qu'elles font, sous peine de voir toute leur famille tuée.
Une fois à Amsterdam, les courtiers viennent inspecter les nourrissons et les enfants. Ils font ensuite des offres (sur la base de la tristement célèbre "liste des courtiers", qui indique la valeur actuelle de ces enfants sur le marché noir, comme s'il s'agissait de marchandises). Les courtiers achètent des nourrissons et des enfants pour les grandes et riches maisons closes exclusives, qui sont souvent des franchises pour lesquelles ils travaillent, et pour les maisons de vente aux enchères privées, dont la plus grande est située dans la banlieue de Paris, en France". Il y aurait un prix pour chaque type d’enfant : blanc, asiatique, 4 ans, 10 ans, fille, garçon, jumeaux, enfant "formé" à réaliser ou supporter certains actes …
Il y a même une liste de prix, comme une sorte de catalogue, mis à jour régulièrement. Ces prix sont fixés par les courtiers dans les bars où ils se retrouvent. Pendant un moment, Svali dit qu’elle a aidé certains courtiers dans leur comptabilité, pour s’assurer qu’ils étaient "honnêtes" et versaient bien leur dîme au Vatican. En effet, elle explique que ces courtiers doivent payer une somme importante, une sorte de "dîme", à l’individu qui tient tout le trafic sexuel local, et qui serait le père jésuite d’Amsterdam. Qui serait au courant des gains de chaque courtier et donc de la somme due pour continuer à opérer dans la zone.
Une des familles dans lesquelles elle a vécu enfant, chez l’ "oncle Lou" et la "tante Sally", était basée à Amsterdam parce que l’ "oncle Lou" était courtier dans l’industrie du sexe, échangeant adultes comme enfants. Enfant, elle l’accompagnait donc dans ses tournées et s’est ainsi, par exemple, retrouvée à l’âge de 8 ans à visiter des orphelinats en Europe de l’Est "pour "aider" les travailleurs qui se rendaient dans les orphelinats et trouvaient des nourrissons et des enfants jugés convenables. Les travailleurs portaient de beaux costumes occidentaux et faisaient savoir aux directeurs des orphelinats que les enfants seraient placés dans des "familles aimantes" en Occident ; ils faisaient également un don généreux à l'orphelinat. J'étais cyniquement sûre, même à ce jeune âge, que les directeurs des orphelinats se doutaient que ces jolis enfants n'étaient pas destinés à être adoptés".
Les enfants étaient ensuite chargés dans des camions où des nounous s’assuraient qu’ils arrivent à Amsterdam en bon état. "J'ai aidé à donner le biberon aux bébés et j'ai tenu ou réconforté des bambins et des enfants bouleversés, alors que le camion était rempli pendant le long voyage à travers l'Europe de l'Est. D'autres fois, le camion se rendait en Chine ou en Russie, mais l'objectif était le même : trouver le plus grand nombre possible de beaux enfants et de nourrissons pour satisfaire l'appétit des riches", écrit Svali sur son blog. Quand le camion était plein, il repartait dans l’autre sens, sans être jamais contrôlés aux frontières. Et de toute manière, mes enfants étaient cachés derrière une cloison.
Le tri est opéré à l’arrivée : "Certains enfants (nourrissons) étaient destinés à subir un entraînement sexuel spécialisé avant d'être mis aux enchères (les jumeaux étaient particulièrement appréciés à cette fin et obtenaient un prix plus élevé sur le marché noir). D'autres, un peu plus âgés, étaient soumis à un régime spécial pour les fortifier et les maintenir en bonne santé, et étaient destinés à participer aux soirées sexuelles organisées par les riches Européens, ou à être utilisés dans le cadre de la pornographie infantile.
Les enfants les plus jeunes étaient souvent envoyés directement à un procurateur (personne dont le travail consistait à procurer des enfants et des nourrissons aux riches), qui les préparait avec des parfums, des bains d'huile, etc. avant une fête sexuelle. Ces enfants étaient considérés comme "sacrifiables" et étaient souvent tués par les adolescents ou les adultes qui participaient à la fête, une fois qu'ils avaient été abusés sexuellement. Parfois, les viols multiples eux-mêmes tuaient l'enfant ; d'autres fois, les adultes tuaient l'enfant dans le cadre de leur perversion sexuelle (par exemple, dans le cadre d'une séquence "snuff")". Dès que la nouvelle de l’arrivage était connue, les acheteurs des bordels pédocriminels du monde entier arrivaient au plus vite.
D’autres enfants sont envoyés dans des salles de ventes aux enchères, dans des lieux spécifiques d’Europe, lors de soirées en présence d’un tas de gens très riches, de proxénètes et courtiers, au cours desquelles ils sont vendus des plus âgés aux plus petits. Certains de ces proxénètes travailleraient pour des familles puissantes, comme les Rothschild par exemple. Des enfants sont ramenés le soir-même pour être massacrés directement, ou plus tard, ou pour être exploités pendant des mois.
Svali explique : "Il existe des salles de vente à Bruxelles, en Belgique, à Berlin, en Allemagne, à Amsterdam, à Genève, à Moscou et dans d'autres villes. Mais la plus importante est située à Paris. Située dans un grand hôtel particulier, la soirée commence à 22 heures par un dîner gastronomique réunissant les membres des familles les plus riches d'Europe et leurs consorts. À minuit, les enchères commencent, en commençant par les enfants préadolescents qui ont souvent des aptitudes sexuelles particulières. Les jumeaux sont particulièrement prisés. Au fil de la nuit, les enfants sont de plus en plus jeunes, jusqu'à ce qu'à 4 heures du matin, les enfants en bas âge soient mis aux enchères. Les proxénètes achètent ces enfants pour les mettre à la disposition de leurs riches clients lors de fêtes privées (auxquelles les enfants survivent rarement). Les clients viennent pour superviser ces achats, mais aussi pour s'amuser, car beaucoup d'entre eux prennent plaisir à regarder le déroulement des enchères.
Certains nourrissons sont gardés à Amsterdam, qui est réputée pour la disponibilité d'enfants de tous âges", dont certains étaient carrément proposés en vitrine dans les bordels de la ville, au petit matin.
La programmation
Les méthodes de programmation des jésuites, bien que très anciennes, auraient été renforcées par les connaissances acquises par les nazis, notamment par Joseph Mengele qui a tellement traumatisé ses victimes dans les camps –parmi lesquelles de nombreux enfants- qu’il a compris comment les faire de dissocier psychiquement, et qui a testé différentes drogues comme la scopolamine, aussi appelée « sérum de vérité » car elle annihile toute volonté.
Selon Svali, les expériences de Mengele étaient aussi financées par le Vatican.
Avant Mengele, la programmation commençait selon les groupes entre la naissance et l'âge de deux ans. Mais avec ses expériences allant jusqu’à la mort et passant par diverses tortures, Mengele, qui a gardé une partie de ses dossiers en s’enfuyant du camp d’Auschwitz, avait prouvé "que la programmation la plus efficace était prénatale, que la programmation prénatale pénètre automatiquement dans le subconscient et le cerveau profond, et que le moment le plus efficace pour créer les divisions fondamentales de la personnalité se situe au cours des cinq premiers mois de la vie, après la conception", écrit Svali.
Elle ajoute que "Un fœtus et un nourrisson peuvent beaucoup plus facilement intérioriser un objet externe qu'un enfant plus âgé, car le cerveau du fœtus n'a pas de monde extérieur pour contredire ce qu'on lui dit, et le cerveau du nourrisson atteint sa capacité maximale d'absorption et de traitement de l'information au cours des premiers jours de sa vie".
Les expériences de Mengele, officiellement tournées vers des objectifs militaires et médicaux pour soigner les soldats, comportaient aussi des volets sur la manipulation de l’esprit et du comportement, dont l’étude était en vogue depuis les années 20 (la clinique Tavistock par exemple, a été créée en 1921), et sur l’élaboration d’une programmation qui serait "incassable".
Selon Svali, les travaux MK-Ultra et assimilés ont permis de trouver cette programmation "incassable". Elle explique que "La base de l'obéissance chez les Jésuites repose sur deux formes principales de programmation : l'évitement de la douleur (la douleur de "descendre" et donc d'aller en "enfer"), ou conditionnement opérant, et la formation d'attachements extrêmement profonds à des figures de proue".
Mengele aurait par exemple compris que traumatiser un enfant dans le ventre de sa mère est bien plus efficace pour le conditionner, et que ces programmations sont bien plus difficiles à briser que celles menées après la naissance, quand l’enfant est en interaction avec l’extérieur.
La mère est donc aussi traumatisée, stressée, frappée, soumise à des chocs électriques etc. On lui donne des médicaments spécifiques pour empêcher qu’elle perde le bébé, ce qui serait le processus normal. Svali ajoute : "Je sais que ces choses se sont produites, non seulement en raison des souvenirs que mes parties ont partagés, mais aussi parce que lorsque j'étais plus âgée et que je dirigeais l'établissement, moi et d'autres formateurs faisions ces mêmes choses aux mères de naissance. Ce que nous avons fait à ces femmes et à leurs enfants à naître fait partie des choses que je regrette le plus d'avoir faites dans mon passé".
Et en effet, tout un travail de sape est mené au niveau de l’attachement : à la mère, inexistante ou maltraitante, au bourreau qui intervient pour sauver l’enfant, aux nounous qui soudain sont éloignées, ou tuées devant l’enfant, à son animal domestique, qu’on l’oblige à tuer…
Après la guerre, Mengele aurait programmé des enfants partout dans le monde[1] pour les jésuites et le Vatican principalement, qui louait ses services à d’autres organisations pour de grosses sommes d’argent. La programmation était tournée vers l’assassinat et le fait de vivre avec des personnalités sevrant de couverture à des activités d’espionnage.
Les jésuites voulaient aussi que leurs meilleurs programmeurs soient eux-mêmes programmés par Mengele.
Svali précise : "Mengele dirigeait un centre de recherche tristement célèbre (dans le monde occulte) ("l'institut") où il employait les meilleurs formateurs des 12 sociétés, qui poursuivaient ses recherches sous sa supervision (brutale) sur les traumatismes de fin de vie (traumatismes qui conduisent le sujet à la mort physique ou psychologique) et d'autres traumatismes, et leurs effets sur la psyché humaine". Il menait des expériences sur des nourrissons, pour identifier les plus forts qui pouvaient survivre.
Plusieurs grands centres de programmation appliquant les méthodes de Mengele, et menant des recherches sur le sujet, existeraient dans le monde, notamment sur la côte ouest des Etats-Unis où le centre de programmation serait en lien avec l’armée, dans l’Est de Berlin, à Prague ou encore à Rome.
Svali, qui dit avoir été conçue dans un laboratoire de génétique en Suisse à la fin des années 50[2] avec un sœur jumelle, dit avoir eu personnellement affaire à Mengele dès sa naissance. Lors de laquelle sa mère biologique a été tuée devant elle et un rituel a été organisé pour qu’un démon entre en elle et qu’elle soit consacrée à satan.
La programmation a ensuite été continue durant ses trois premières années. Il se faisait appeler "Herr Josef " (monsieur Joseph) et dirigeait les laboratoires de programmation dans le monde, et selon Svali (qui n’est pas la seule survivante à l’avoir identifié) il y en avait un en Italie, un en Allemagne de l’Est, un autre en Suisse à cette époque (fin des années 50, début 60).
Le nazi a ensuite formé de nombreux étudiants programmeurs, qui ont repris et perfectionné ses méthodes. Sa plus fidèle assistante s’appelait Hilde, précise Svali, une parfaite aryenne glaciale et efficace. Il avait la main sur les bébés en pouponnière, auxquels il faisait ce qu’il voulait dans le cadre de ses expériences.
"Mengele aimait les situations de "survie du plus fort" et plaçait deux biberons au milieu d'une pièce remplie de nourrissons. Une cloche retentissait et tous les enfants rampaient rapidement vers les biberons ; ceux qui arrivaient les premiers et pouvaient se défendre contre les autres bébés "gagnaient" et recevaient un biberon ce jour-là. Les autres étaient tués devant les survivants, pour leur montrer ce qui arrivait aux bébés "lents" ou "sacrifiables".
Mengele n'accordait aucune valeur à la vie humaine. Il tuait 99 bébés pour en trouver un qu'il jugeait "digne d'être gardé" dans un lot. Il était aussi terriblement manipulateur. Dans les pouponnières, les bébés étaient terriblement punis en cas de désobéissance", écrit Svali. Seuls quelques bébés survivaient aux six premiers mois dans la pouponnière de Mengle. Et il est intéressant de noter qu’une sorte d’orphelinat existait à Auschwitz où travaillait ce taré, sans qu’on sache bien ce qu’ils faisaient de ces enfants.
Vers 15 mois, Mengele a organisé pendant plusieurs jours d’affilée un jeu de la faim, une sorte de "hunger game" pour bébés. Une soixantaine d’enfants de cet âge devaient se battre pour obtenir l’un des 2 ou 3 portions de nourriture prévues. Au fil des jours les enfants dépérissaient, et il n’en restait que trois de valides. Il avait apparemment de nombreux tests éliminatoires dans ce genre, toujours dans l’objectif de repérer les "plus forts" d’après ses critères. Après ses 3 ans elle a eu d’autres programmeurs.
Il existe donc des programmations conçues pour chaque âge, en fonction de l’évolution de l’enfant :
Nourrisson : la programmation commence dès la conception avec des rituels qui lient l’enfant à une entité démoniaque."Au quatrième mois de gestation, les premières ondes cérébrales (ondes delta) commencent à apparaître dans le cerveau du fœtus et, avec elles, un certain degré de conscience. À ce moment-là, un traumatisme primaire est souvent provoqué intentionnellement, afin de créer l'une des premières scissions (d'autres auront été créées plus tôt). Souvent, la mère et le fœtus se voient injecter in utero un agent qui provoque une douleur extrême, mais qui n'entraîne pas l'accouchement. Le fœtus éprouve une terreur extrême, une douleur atroce et entend sa mère crier "Sortez-le !" à propos du fœtus qui semble lui causer une douleur intense dans son utérus", précise Svali. Des écouteurs peuvent ensuite être placés sur le ventre de la mère, avec des enregistrements sur "leur identité, leurs désirs, leurs croyances et leur rôle dans le nouvel ordre mondial", des électrochocs ou des ondes électromagnétiques peuvent être utilisés pour provoquer de fortes douleurs chez la mère ou le bébé, qui sont suivis de près sur le plan médical.
Trauma de naissance : au moment de la naissance, selon Svali, les jésuites étoufferaient l’enfant presque jusqu’à la mort, et s’il veut vivre il sera pris par un démon quoi qu’il arrive, sinon il meurt. On peut aussi tuer la mère biologique et montrer le corps à l’enfant en lui disant que c’est de sa faute.
Premières semaines de vie : "Les premières semaines de vie d'un enfant né chez les Jésuites sont très chargées et extrêmement douloureuses. C'est à ce moment-là que les premières scissions ont lieu et que les modèles de systèmes sont créés et organisés. La programmation spirituelle est également menée de manière plus méthodique", écrit Svali. Ces traumatismes peuvent être des blessures physiques, des viols digitaux, des électrochocs, des brûlures, la quasi noyade… De plus, des rituels sataniques sont organisés pour rattacher des démons aux parties dissociées au fur-et-à-mesure de leur apparition. Tous ces traumatismes alimentant l’amnésie. Il y a aussi la programmation précoce des ondes cérébrales : la personnalité du nourrisson est entraînée à ce que ses ondes cérébrales restent "en état thêta"[3], en le récompensant quand il y est et en le choquant quand il sort de cet état. C’est là que l’entraînement "spirituel" commence vraiment, avec des rituels et dans un contexte morbide, et Svali explique que c’est là que les enfants commencent à voir des démons.
Les nounous : les nounous qui gardent les jeunes enfants continuent la programmation, pour renforcer la loyauté de l’enfant envers le groupe et les chefs de la secte.
On ancre très tôt dans l’esprit des enfants que seuls les plus forts ont le droit de vivre, que les autres ne valent rien. Pour eux, la faiblesse devient synonyme de mort. On présente comme mentor de l’enfant un père jésuite, qui joue le rôle du gentil dans les pires moments.
Et on commence par créer les personnalités principales qui sont bien séparées, et le processus d’amnésie.
Dès 2 ans, elle a été envoyée avec sa sœur jumelle à un rituel, et elle explique qu’elles avaient un tatouage temporaire signifiant qu’elles ne pouvaient pas être tuées. Mais elles ont vu tous les autres enfants être étouffés cette nuit-là et pensaient qu’elles allaient être tuées aussi. Svali dit que la raison pour laquelle elles étaient envoyées à ces soirées était de tout rapporter des comportements et des paroles des uns et des autres. C’est comme cela qu’elle a été si souvent aux soirées de perversion des Rothschild ou des Battenberg (la famille de Lord Louis Mountbatten, vice-roi des Indes, oncle de Prince Philip et pédocriminel notoire[4]).
LA VIDEO DE L’INTERVIEW
Le témoignage de Svali est beaucoup plus étoffé que ces quelques lignes qui portaient surtout sur le trafic d'enfants, et la programmation issue des nazis, afin de confirmer les propos tenus par d'autres survivants, et ce qui est dit dans le documentaire "Eyes of the devil" du polonais Patryk Vega. Il est important de comprendre comment fonctionne le trafic sexuel d'enfants, pour identifier les lieux, les circuits, les courtiers, les points de passage, les clients.
Ce que décrit Svali remonte aux années 60 à 80, mais il est évident que le trafic n'a jamais cessé, qu'il s'est intégré à la mondialisation et opère toujours, partout dans le monde. Un trafiquant interrogé par Patryk Vega comparait le réseau international de trafic d'enfants à une multinationale. Il est présent partout, opère partout, et a semble-t-il la bénédiction de nos services de renseignements et de nos autorités.
[1] Il n’existe pas vraiment de bio officielle de Mengele, mais d’après les sources il a vécu surtout en Argentine, puis au Paraguay et au Brésil, où il serait mort en 1979 après avoir vécu planqué et en fuite pendant des années, dans la misère la plus complète. En principe, donc, il ne pouvait pas être aux Etats-Unis, au canada ou en Europe tout ce temps. A-t-on fait circuler un sosie en Amérique latine ? Il a apparemment aussi travaillé sur les jumeaux. Mengele se déplaçait-il en permanence ? Oui apparemment, durant les années 50 et au début des années 60, quand il faisait du business et vivait sous sa vraie identité. Bref, je n’ai pas le fin mot de l’histoire.
[2] Elle explique qu’elle était déjà la 3e génération de bébés génétiquement modifiés. Lors de cette « G3 », elle explique que les gènes tels que celui de l’intelligence et celui de la force musculaire auraient été découverts. 3 jours après sa conception elle a été implantée dans le ventre d’une femme qui n’était pas sa mère génétique, et qui a été envoyée dans un centre en Europe où la programmation prénatale a commencé.
[3] Svali explique : « Les Jésuites utilisent le fait que lorsque les ondes cérébrales d'une personne sont en état thêta, elle est la plus ouverte au monde spirituel. C'est pourquoi une grande partie de leur formation spirituelle est dispensée lorsque l'individu est en état thêta […] On apprend au nourrisson à rester dans l'état thêta en attachant à sa tête des électrodes qui captent les ondes cérébrales et les affichent sur un moniteur. Lorsque la personnalité du nourrisson qui est entraînée est en état thêta, le nourrisson est fortement félicité. Si la personnalité "rebondit" hors de l'état thêta, ce qui est normal, l'enfant est fortement choqué. Finalement, les personnalités créées apprennent à rester en permanence dans l'état thêta».
[4] Mountbatten fréquentait notamment le Kincora Boys Home à Belfast où le MI5 avait placé des caméras, et où les jeunes garçons étaient exploités sexuellement par les anglais.
Merci pour ce travail de retranscription. C’est effroyable à lire. On croyait savoir déjà un peu de choses, c’est encore pire à chaque révélation.